mardi 23 février 2010

Mon Karma estudiantin

Ah, mais putin. La galère, quoi ? Ça fait plus d'une semaine que j'essaie de tisser (parce que tisser est vraiment le mot à employer à cette fin) un horaire convenable. Alléluia ! Je réussis lundi. Tous, tous, tous mes cours ne se donnent finalement pas en même temps : soulagement total (même si pour cela, il faut que je me tape pas moins de 20 heures de cours par semaine avec un horaire de bip de bip. Le genre que tu-te-tapes-4-cours-en-l'espace-de-6-heures-sans-break-3-fois-semaine. L'enfer.

Mais bon, voilà... J'ai commencé à les suivre ces fameux cours, ou plutôt les essayer, mais bon… les professeurs Espagnols en ont rien à foutre de la Française (de langue) qui a du mal à suivre le débit de leurs paroles ! OUF. Je reviens justement d'un cours d’AutoCAD (programme de dessin assisté par ordinateur) où je croyais innocemment m'emmerder en raison de mes (mmh : réflexion) 3 ou 4 cours de graphisme au QC passés haut la main. Et bien, NON. La pauvre-de-petite-moi ne pigeait rien à rien ! Même la gentille Erasmus M. E., Mexicaine depuis la naissance, avait peine à suivre.

Après ? Angoisse totale. Les cours d'espagnol, je ne veux rien savoir, donner moi que des cours en anglais... ou peut-être ceux en Espagnols reconnus par les vieux Erasmus (seule référence) comme étant faciles. Mais... pas si simple que ça, encore faut-il que mon université au QC me les reconnaisse… et que tous ces cours libres (encore une fois) ne soient pas tous dans le même horaire !

À s'en arracher le poil des bras ! Car, si je ne réussis pas à me faire un horaire convenable et reconnu par l'UdeS, c'est: pas de bacc. et remboursement de ma bourse d'études à l'étranger...

À croire que mon Karma estudiantin sherbrookois me suit... Oupsi.

Note à moi-même: toujours dire à maman que tout va s'arranger ! Je t'aime maman. :-)

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